• Aujourd'hui, je me lance un nouveau défi : vous faire découvrir mes coups de cœur en LDJ américaine ! En LDJquoi ? En Littérature De Jeunesse mes amis !

    Mon petit doigt me dit que parmi les lecteurs de ce blog, il y en a quelques uns qui font partie de cette catégorie qui se balade discretos dans le rayon des moins de 15 ans de la librairie, qui offre des Geoffroy de Pennart pour tous les cadeaux de Noël parce que "tu te rends pas compte, c'est le plus grand auteur de détournement de contes !", et qui connaît la bibliographie complète de Mario Ramos, version digitalisée et remastérisée. Si vous ne vous reconnaissez pas dans cette description, no stress, je suis là pour vous vendre du rêve depuis l'autre côté de l'Océan !

     

    Mon premier post de ce genre sera pour vous présenter celui que je considère comme le plus grand auteur de Littérature de Jeunesse américain : Mo Willems ! On lui doit des tas de livres, et aujourd'hui j'ai choisi de vous présenter celui que je trouve le plus emblématique : Don't let the Pigeon drive the Bus !

     

    Mo Willems, c'est mon chouchou. Il écrit, il dessine et il est capable de faire une histoire avec trois fois rien. Don't let the pigeon drive the bus ! est son premier livre pour enfants, et il a été finaliste en 2004 du prestigieux prix Caldecott qui récompense les meilleurs illustrateurs de littérature pour enfants.

     

    Don't let the pigeon drive the bus !

     (la preuve que c'est notre livre de chevet : l'état de sa couverture...)

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  • ... on est à Houston quand même !

    Vous avez été très nombreux à me demander récemment si les américains fêtaient Pâques. Là j'hésite entre plusieurs têtes (un peu comme des émoticônes, mais c'est un peu galère à faire en vrai en fait...) : surprise, amusée, étonnée, voire un peu des 3 . Mais les amis, je vis au Texas ! Le bastion des chrétiens et de la surconsommation ! Un peu qu'on fête Pâques !

     

    Noël au balcon, Pâques au balcon...

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  • Janvier 2015 : d'abord de la stupeur, puis une immense tristesse et de l'incompréhension...

    Novembre 2015 : d'abord de la stupeur, puis une immense tristesse et de l'incompréhension, et une sourde colère qui monte doucement...

    22 Mars 2016 : de la colère, de la colère, de la colère...

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  • 9h30 un dimanche matin (déjà, l'article qui part mal : on a grillé la messe), un Robin sous le bras, une Salomé sous l'autre, un mari et un groupe de potes prêts à rigoler, une voiture garée à perpet', des billets d'entrée en poche... Rodéo 2016, nous voilà !

     

    C'était donc cette année la 4ème fois que j'allais au Rodéo de Houston. Le Rodéo, c'est pas compliqué : dans un immense stade, des cowboys venus du monde entier (= du Texas) combattent pour saucissonner le plus vite possible de pauvres veaux qui pour le coup n'ont vraiment rien demandé, ou pour essayer de tenir le plus longtemps possible sur un cheval ou un taureau en furie. Autour du stade, c'est le salon de l'Agriculture version Far West : on admire la faune locale (des Longhorns et autres zébus) et on déguste des produits du coin (ah ça...). Et puis, si on a encore de l'énergie, on peut même aller braver la foule (et c'est pas peu dire !) pour faire un tour de grand 8 dans l'immense fête foraine qui s'étend autour du stade (moi j'appelle ça une vogue... Y a t-il des Lyonnais dans la salle ?!)

     

    J'avais déjà écrit 2 articles sur ce blog sur le concours de cowboys il y a quelques années (et là, je me dis que jamais de ma vie j'aurais pensé écrire un jour "concours de cowboys" sur un blog). Si ça vous intéresse, j'ai remis les liens en bas de cet article ^^

     

    Maintenant, j'aimerais que vous fermiez les yeux... Si, si, fermez les yeux (je sais, c'est un peu chiant pour lire) et mettez vous dans le contexte : 9h30, dimanche matin (pas de messe on a dit) un petit dej pris à 6h du mat avec vos 2 lève-tôt, le ventre qui commence à gargouiller, vous passez les portes d'entrée du Rodeo plein d'espoir...

     

    Ouvrez les yeux...

     

    Haute gastronomie au pays des cow-boys

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  • Alors... J'ai 3 excuses valables pour mon absence prolongée sur ce blog :

    - un orage épouvantable la semaine dernière a grillé ma box et j'ai dû vivre comme au Moyen-Age sans internet pendant 3 jours (nul !)

    - j'ai ensuite fanfaronné au gala de mon école en robe légère, et je l'ai payé bien cher pendant 3 autres jours.

    - et enfin, maintenant que j'ai internet et que je suis microbe-free (eh oh, comment ça Eklablog se permet de souligner le mot microbe-free, j'ai bien le droit d'inventer mes propres concepts sur mon blog, non ?!), je suis en anti-vacances. Les anti-vacances, c'est quand tes enfants sont en vacances et toi non. Tu dois donc a/faire les yeux doux aux copines pour qu'elles gardent ta progéniture b/rendre la pareille aux copines en gardant leurs enfants sur tes jours de repos c/essayer de préparer tes cours et assurer le minimum vital pour que ta maison ne tombe pas dans les oubliettes au milieu d'enfants surexcités de t'avoir un peu sous la main.

     

    Bref, I'm back !

     

    Aujourd'hui, on va causer rodéo, encore ! Cette fois-ci, on va faire un petit tour dans les écoles, celle où je travaille et celle de Salomé. J'ai fait des tonnes de photos le jour du rodéo à mon école, mais il y a mes élèves dessus et j'étais trop occupée (sans blague !) pour avoir un semblant de présence d'esprit de jouer les reporters pour mon blog. Mais du coup, je me suis rattrapée à l'école de Salomé, vous allez voir !

    Donc à mon école, entre plein de jeux de cow boys, on est allé voir Josette la Vachette. Bon, vu le poids et les cornes de la bête, je vais éviter de la vexer, et donc préciser qu'à défaut de Vachette, c'est un fait un LongHorn (mais j'ai rien trouvé qui rime avec Longhorn), l’emblème du coin. 

     

    Rodeo à l'école

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