Ceux et surtout celles qui me connaissent bien se souviennent peut être à quel point le basket et moi on s'apprécie peu... S'il y a bien un sport qui m'a toujours dépassé (et pas qu'en taille), c'est bien celui-là. J'ai eu beau essayer (et il y a des témoins, salut les filles!) je dois avouer qu'il vaut mieux m'avoir contre que dans son équipe. Je crois que je suis bien plus douée pour écrire de la main gauche que de courir en tapant dans la balle en essayant de me souvenir quand est-ce qu'on n'a pas le droit de faire plus de 3 pas - ou alors si, on a le droit mais pas tout le temps... enfin je sais plus. Bref, le basket n'est pas fait pour moi, épicétout ! 

 

 

N'empêche que, après avoir détesté pendant des années ce sport qui me faisait immanquablement baissé ma moyenne au collège contre mon gré, j'ai enfin réussi à presque me réconcilier avec lui en allant voir un match de NBA ici, à Houston ! Comme pour le match de football américain, j'ai appris beaucoup de choses pendant ce match qui opposait l'équipe de Houston (les Rockets) à l'équipe de Denver (les Nuggets - c'est leur nom mouahahahahah !!! ).

 

 

Déjà, j'ai appris que le basket ça peut être cool, et je partais pourtant de loin. J'ai aussi découvert qu'en fait ils ne sont que 6 par équipe à jouer à chaque fois (ou bien 5, désolée j'ai pas retenu tous les détails!). Je m'imaginais qu'ils étaient au moins 20 sur le terrain, mais non. Donc concrètement, ça donne ça : 

 

 

 

 

Et comme pour tous les sports aux US, on trouve des cheerleaders et une mascotte qui vient faire le show pendant les pauses : 

 

 

 

 

 

 

Mais les pauses nous réservent parfois aussi de drôles de surprises, comme la venue sur le terrain de vétérans lambas qui sont applaudis pendant bien 5 minutes. Vraiment, je crois que les américains devraient faire une thérapie de groupe pour régler cette adoration béate devant leur armée. On parle de guerre quand même !  : 

 

 

 

 

 

 

Mais enfin là où je me suis quand même le plus marré avec ma soeur, c'est quand on a découvert qu'à chaque fois qu'un gars tombe, deux hommes se jettent sur le terrain avec une serpillière pour venir essuyer ! Non mais imaginez un peu : "Et c'est quoi toi ton métier ?" "Oh moi, je cours pour éponger le parquet devant 5000 spectateurs quand des mecs se ratent" ! Délire !  

 

 

 

 

 

 

 

 

Enfin, la dernière chose que j'ai appris, c'est que la dernière minute du match peut durer bien 15 minutes. Ca en est même stressant à la fin, tiens. Genre sur le terrain, alors qu'il reste 30s à jouer, il se passe des trucs comme ça : 

 

 

 

 

 

 

Voilà donc pour le basket les amis, je vous souhaite à tous une bonne semaine !